Europe

Territoires annexés par l'URSS 1939-1940

Les annexions soviétiques 1939-1940

Territoires annexés par l'URSS 1939-1940Le manque de connaissance de l’histoire de l’Europe orientale fait que nous ne saisissons pas toujours toutes les ramifications d’un événements. Dans le cas de l’expansionnisme russe de ces dernières années, le précédent de l’Entre-deux-Guerres est rarement vu, alors que, dans la région, le souvenir de ces manœuvres permet le rapprochement.

C’est ce qu’on observe avec les annexions effectuées par l’URSS en 1939-1940. Cette opération, rendue possible par l’alliance avec l’Allemagne nazie, a tendance à être oubliée, alors que cet accroissement territorial obéit à un objectif important, puisque l’URSS a réussi à le faire admettre par les Alliés, qui ont dû faire une exception à leur volonté de revenir aux frontières de 1937 et d’annuler tous les coups de force d’avant-guerre.

Parmi ces stratégies, une des plus importantes consiste à justifier a posteriori l’invasion par un vote populaire — strictement encadré, bien sûr ! C’est le cas dans la Pologne sous occupation soviétique, divisée en deux entités. Les assemblées issues des élections où seuls les candidats communistes étaient autorisés demandent leur rattachement à la République socialiste soviétique biélorusse et à la République socialiste soviétique ukrainienne, évidemment acceptés par les autorités soviétiques. De même, l’URSS signe à la fin de l’année 1939 des « traités d’amitié » avec l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie, qui lui permettent d’installer des bases militaires. Les 16-17 juin 1940, ces trois pays sont envahis et des gouvernements pro-soviétiques installés par l’occupant. Ici aussi, des élections contrôlées par les Soviétiques permettent la constitution de parlements qui transforment l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie en républiques socialistes soviétiques, qui demandent leur intégration à l’URSS, qui ne peut que répondre favorablement à cette sollicitation !

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Projection : projection azimutale équivalente de Lambert. Centre : 50°N et 24°E.

Topographie : Natural Earth.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 20 : « My favorite… »).

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Régions ukrainiennes souhaitant être rattachées à la Russie

Les régions ukrainiennes favorables à un rattachement à la Russie

Régions ukrainiennes souhaitant être rattachées à la RussieDepuis de nombreuses années, on a tendance à présenter les russophones ukrainiens comme des victimes de l’ukrainisation, et surtout comme des Russes souhaitant vivre en Russie. Or l’Ukraine est précisément un cas où le sentiment national n’est pas réductible à la langue, ne serait-ce que parce que le bilinguisme est très répandu.

À l’appui de l’idée de la volonté de rattachement à la Russie, on montre des cartes des élections ou des langues majoritaires. Cette carte s’appuie sur un sondage effectué en février 2014, peu avant la révolution de la dignité, par le Kyiv International Institue of Sociology. Les résultats montrent que même les régions supposées favorables à un rattachement à Russie (Crimée, Donbas) sont loin de l’être majoritairement.

J’ai eu l’idée de cette carte pour le 30DayMapChallenge, qui comporte une catégorie null, c’est-à-dire quand il n’y a pas de résultat.

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Projection : projection conique conforme de Lambert. Parallèles standard : 45°N et 51°N. Méridien central : 31°E.

Éléments naturels et frontières : Natural Earth.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 22 : Null).

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Baltique, imitation cyanotype

Les rives de la Baltique (cyanotype)

Baltique, imitation cyanotypeLe thème du 18e jour du 30DayMapChallenge est bleu. J’ai eu l’idée de m’inspirer des cyanotypes, qui signifie littéralement impresssion bleue. Ce procédé particulier permet de produire des images monochromes en bleu. Il a été notamment très utilisé pour les « bleus » d’architecte. Ici, l’idée est de s’inspirer des cartes du tournant des XIXe et XXe siècles, dont certaines étaient imprimées ainsi.

J’ai donc laissé de côté certains éléments de mon style habituel pour faire comme si la carte avait été imprimée. Je me suis donc imposé le format 21×29,7. La carte est délimitée par un cadre. Il n’y a pas de graticule, car cela aurait nuit à la visibilité, sinon j’aurais ajouté un cadre zébré. J’ain utilisé la police Didot, inspirée des caractères de l’imprimeur Firmin Didot, typiques de l’imprimerie française du début du XIXe au milieu du XXe siècle. Pour l’effet papier, j’ai importé une image de papier plié et froissé. Dans Photoshop, j’ai utilisé le mode de fusion incrustration, et un peu joué avec l’opacité pour un rendu plus discret.

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme, Photoshop pour l’effet papier.

Projection : transverse universelle de Mercator, fuseau 34 nord.

Topographie : Natural Earth.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 18 : bleu).

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France : forêts et hommes

Forêts et hommes en France

France : forêts et hommesUn peu sur le modèle de ce que j’avais déjà fait pour le Japon, j’ai voulu consacré cette journée raster du #30DayMapChallenge à la couverture forestière, en France cette fois. Les incendies qui touchent régulièrement les forêts rappellent que c’est un milieu aussi fragile que fondamental.

Les principes qui ont guidé la conception sont les mêmes. Je suis parti d’un geotiff d’occupation des sols et j’ai isolé les différentes formes de forêt d’un côté, les villes, activités industrielles et infrastructures de l’autre. J’ai aussi appliqué un ombrage pour voir si le relief jouait, ce qui est partiellement le cas.

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme, Photoshop pour l’application de l’ombrage.

Projection : projection conique conforme de Lambert. Parallèles standard : 49°N et 44°N (RGF93).

Topographie et occupation des sols : CORINE land cover (Copernicus Land Monitoring Service).

Côtes et frontières : Natural Earth.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 7 : raster).

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Fleuves français façon plan de métro

Les fleuves français (version plan)

Fleuves français façon plan de métroLe thème du jour du #30DayMapChallenge 2022 met en avant la notion de réseau, notion fort utilisée en géographie. J’ai décidé de jouer sur la représentation des réseaux en utilisant les codes des plans de transports en commun pour le réseau fluvial français. Pour cela, j’ai simplifié le contour de la France pour garder le côté stylisé de ces plans. Le tracé des cours d’eau a lui aussi été simplifié. Les affluents sont traités comme des embranchements. Les principales villes traversées sont traitées comme des stations. J’ai choisi de ne montrer que les fleuves dont l’embouchure est en France, d’où l’absence du Rhin et de ses affluents.

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Police de caractères : Parisine (la police officielle du métro parisien).

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 6 : réseau).

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Guerre en Ukraine. Situation au 01/11/2022

La guerre en Ukraine (situation au 01/11/2022)

Guerre en Ukraine. Situation au 01/11/2022La guerre en Ukraine a entraîné la production de cartes de grande qualité, souvent aisément accessible via Twitter : voir en particulier celles de War Mapper, Jomini of the West, Poulet Volant ou du ministère britannique de la Défense. Le cartographe Kenneth Field a même conduit une réflexion fort intéressante sur la représentation des flux de réfugiés, avec cette carte, qui évite les sempiternelles flèches, comme résultat.

Pourquoi donc une nouvelle carte ? J’avais besoin d’une synthèse pour une série de cours que je prépare, et je me suis rendu compte qu’il y avait bon nombre de cartes montrant la situation à un moment donné, mais bien peu montrant l’évolution du conflit.

J’ai décidé de montrer l’évolution des fronts et des régions occupées mais aussi les frappes aériennes par des missiles ou des drones, ce qui exclue les bombardements classiques et les tirs d’artillerie, qui auraient saturé la carte. Parmi les nombreux crimes de guerre commis par l’armée russe, j’ai indiqué les lieux d’assassinat de civils non liés à des bombardements, mais résultant d’exécutions sommaires — représentation forcément provisoire, sachant que la libération progressive du territoire ukrainien s’accompagne de découvertes de nouveaux crimes de guerre.

Il y a probablement des erreurs et oublis, dont je suis seul responsable. N’hésitez pas à me les signaler. La situation avant la guerre se trouve dans une précédente carte.

Слава Україні! Героям слава!

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Projection : projection conique conforme de Lambert. Parallèles standard : 45°N et 51°N. Méridien central : 31°E.

Éléments naturels et frontières : Natural Earth.

Cette carte a été élaborée comme support des cours et formations de l’Institut d’étude des religions et de la laïcité.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 5 : Ukraine).

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La Sicile en Legos

Sicilia insula est

La Sicile en LegosSicilia insula est — La Sicile est une île. C’est la première phrase de mon tout premier cours de latin. Ça remonte à… Depuis, mon latin s’est un peu rouillé — mais je l’entretiens régulièrement — mais je n’ai jamais oublié cette phrase.

Le troisième jour du #30DayMapChallenge 2022 est consacré aux polygones. Et un polygone en 3D, c’est une brique. D’où l’idée d’une carte en Lego, comme celle que j’avais déjà faite pour le mont Athos. J’ai voulu représenter une île pour avoir un espace fermé. Plusieurs lieux m’ont traversé l’esprit, et cette petite phrase latine s’est imposée.

La grille a été tracée dans QGIS. Les centroïdes ont permis de faire les cercles. Dans Illustrator, j’ai regroupé les carrés pour former les briques et plaques, puis créer le petit effet 3D pour donner un peu de relief.

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Topographie :  ETOPO1.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 3 : polygones).

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Carte de France en joyplot

France – Joyplot

Carte de France en joyplotLe joyplot, ou plus sérieusement ridgeline plot (graphique en ligne de crête) est une superpositions de courbes qui permettent de faire apparaître le relief ou une distribution statistique — la population est une des plus représentées. Le terme joyplot, le plus couramment employé, est une allusion à la couverture de l’album Unkown Pleasures du groupe Joy Division. Ce type de représentation a été pas mal à la mode ces temps derniers. Pas de mal de tutoriels sont disponibles pur ceux qui souhaitent tenter l’expérience. Dix ans après tout le monde, je cède à la mode pour le deuxième thème du #30DayMapChallenge 2022 (lignes). Le principe me semble parfaitement coller au sujet, car les lignes forment la carte.

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Topographie :  ETOPO1.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2022 (jour 2 : lignes).

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Les îles Britanniques d'après Ptolémée

Les îles Britanniques selon Ptolémée

Les îles Britanniques d'après Ptolémée

La Géographie de Ptolémée est un ouvrage théorique et pratique sur la construction de cartes. L’imposante liste de coordonnées donne envie de construire la carte qui va avec.

Il est possible de faire trois types de carte. Les deux premières sont des cartes mondiales, pour lesquelles Ptolémée définit deux manières de représenter la surface d’un globe sur un plan. On ne peut encore parler de projection, mais il s’agit de la première réflexion sur le rapport entre la surface de la Terre et la représentation sur un plan. Le troisième type de cartes est une série de cartes locales, pour lesquelles Ptolémée considère qu’on peut utiliser la « projection » utilisée à son époque, où la distance entre les degrés est constante — une sorte de projection équirectangulaire. En effet, à cette échelle, il considère que la distortion est faible, alors que l’emploi de cette méthode pour une carte mondiale fausse la représentation. Ici, j’ai construit la carte des îles Britanniques.

Néanmoins, l’ouvrage n’est pas exempt d’erreurs, comme le montre le résultat avec les îles Britanniques. Ptolémée consacre un long développement à la manière de déterminer la latitude et la longitude, mais en est réduit à faire des estimations d’après les récits de voyage, ce qui explique les distortions dans le tracé des côtes ou le placement des points remarquables — auxquels s’ajoutent, avec les temps, des fautes de copie dans les manuscrits, dont pas un n’est antérieur au XIIIe siècle.

L’autre problème vient de son estimation de la taille de la Terre, qui est trop petite. C’est peut-être ce qui explique la rotation de la Calédonie (Écosse moderne) à 90°. En effet, Ptolémée postule que Thulé (Θούλη / Thoúlē) est aux limites du monde connu, à 63°N, et seule cette rotation permet de concilier les distances de référence et l’espace qui reste entre le nord de la province de Bretagne (mur d’Hadrien, commencé du vivant de Ptolémée) et Thulé.

Les coordonnées géographiques sont données en degrés, mais Ptolémée, en réalité, opère une division en heures en fonction de la course du soleil, et donne les lignes remarquables ainsi. Le méridien d’origine passe par la limite occidentale du monde connu, c’est-à-dire les Îles bienheureuses, archipel situé au large de l’Afrique (Cap-Vert ?). Il précise qu’une heure fait 15°, et découpe le globe en grands cercles tous les 5°. L’équateur sert d’origine pour la latitude, qui correspond à la durée maximale d’ensoleillement (12 heures à l’équateur, 8 heures à 63°N). Ptolémée définit une série de parallèles inégalement espacés en fonction de cette durée (toutes les demi-heures jusqu’à +7 heures, toutes les heures ensuite). J’ai conservé ce système pour les parallèles.

Pour les noms, j’ai gardé les noms grecs plutôt que d’utiliser leur équivalent latin, même s’il est bien connu pour les régions conquises par l’Empire romain. J’ai donc gardé Λεγίων Κ´ Νικηφόρος (Legíōn XX Nikēphóros) pour Legio XX Valeria Victrix. Mais comme il s’agit souvent de mots transcrits du latin, j’ai choisi de translittérer /ου/ , qui rend le latin /u/, par /ou/ ou /w/ (ce qui était la prononciation du moment) : l’île de Οὔεκτις (latin Vectis, moderne Wight) est transcrite en Ẃektis au lieu du classique Oúektis.

Logiciel utilisé : Illustrator.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2021 (jour 21 : carte historique).

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Plébiscite de 1921 en Haute-Silésie

Le plébiscite de Haute-Silésie (1921)

Plébiscite de 1921 en Haute-SilésieLes cartes choroplèthes sont utilisées surtout pour la cartographie démographique et la cartographique électorale. Cette carte combine les deux, puisqu’il s’agit du plébiscite organisé en Haute-Silésie à l’issue de la Première Guerre mondiale. Pour le contexte général lié à la reconstitution de la Pologne, voir cette carte.

J’ai utilisé deux dégradés de couleurs, un pour le vote en faveur du rattachement à la Pologne, un pour celui en faveur du maintien dans l’Allemagne. Cela permettait d’opposer aisément les deux options. Dès lors, j’ai renoncé à faire figurer les données démographiques, qu’il aurait fallu représenter par un double dégradé (un pour la part des Polonais / Allemands, un pour la part du vote). On ne voit pas que le vote n’est pas automatiquement lié à la nationalité : les Polonais sont majoritaires en Haute-Silésie, sauf dans les districts urbains, mais dans de nombreux districts, le vote en faveur du maintien dans l’Allemagne est supérieur à celui du nombre de Polonais. Les deux côtés se sont d’ailleurs mutuellement accusés de fraude.

J’ai aussi indiqué cinq frontières : celle de 1914, celle du traité de Versailles, celle de la province prussienne de Haute-Silésie (créée en 1919), celle du partage de la province, les limites des districts (Kreise) de la province de Haute-Silésie et du district de Namslau (Basse-Silésie) partiellement concerné par le plébiscite.

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Projection : Transverse universelle de Mercator, fuseau 34 nord.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2021 (jour 26 : carte choroplèthe).

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La diffusion du christianisme dans l'Empire romain

Les débuts du christianisme

La diffusion du christianisme dans l'Empire romainLa carte sur les débuts du christianisme est un classique, mais qui pose quelques difficultés. La première est d’ordre purement factuel : il est extrêmement difficile (voire impossible) de mesurer avec un peu de précision l’extension du christianisme. En effet, le christianisme est né de l’enseignement d’un prédicateur marginal d’une religion minoritaire originaire d’une région périphérique de l’Empire : il passe donc largement inaperçu dans les sources romaines. On s’appuie sur les communautés chrétiennes connues — c’est pourquoi elles sont présentes sur la carte.

L’autre problème avec cette carte, c’est qu’elle n’indique que la présence notable de chrétiens dans telle ou telle région, c’est-à-dire qu’on n’est pas certain qu’il s’agisse d’un phénomène majoritaire. Le risque, ici, est de donner l’impression de régions (presque) entièrement acquises au christianisme, ce qui n’est pas le cas.

Néanmoins, pour l’instant, je n’ai pas trouvé mieux pour indiquer la diffusion progressive du christianisme dans l’Empire romain et ses voisins…

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme.

Projection : projection azimutale équivalente de Lambert. Centre : 40°N et 19°E.

Côtes, lacs et cours d’eau : GSHHG (Global, Self-consistent, Hierarchical, High-resolution, Geography Database) et Natural Earth.

Cette carte a été élaborée comme support des cours et formations de l’Institut d’étude des religions et de la laïcité.

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Île de Noirmoutier

L’île de Noirmoutier

Île de NoirmoutierCarte inhabituelle, mais qui m’a permis de continuer à m’exercer au mode sombre, et surtout à travailler les données issues d’OpenStreetMap. Pour une fois, aussi pas de graticule, mais une rose des vents !

Voici donc ma carte de l’île de Noirmoutier…

Logiciels utilisés : QGIS pour la conception de la carte, Illustrator pour la mise en forme, Photoshop pour l’application de l’ombrage.

Projection : RGF 93 / CC47 (projection conique conforme de Lambert ; parallèles standard : 46°15 N et 47°45 N ; méridien central : 3°E).

Données © OpenStreetMap contributors.

Cette carte a participé au #30DayMapChallenge 2021 (jour 19 : île(s)).

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